Autrefois, une initiation parfois pratiquée par sodomie

Des Papous. © JULES MOTTE / SIPA
Si la tradition du sperme virilisant a presque disparu aujourd'hui sous l'influence des missionnaires étrangers qui ont évangélisé la Papouasie-Nouvelle-Guinée dès le milieu du 19e siècle, elle reste de mise dans quelques populations isolées. Les papous Sambia n'étaient pas les seuls à la pratiquer puisque 20 à 30% des tribus de Papouasie-Nouvelle-Guinée l'honorait. L'initiation des jeunes avec le sperme se faisait aussi autrefois par sodomie. Le donateur de semence pouvait être surnommé "père-anus". Une insémination orale ou anale sans laquelle le jeune garçon n'était pas capable de libérer sa première semence, selon les croyances de certaines tribus.
Si la tradition du sperme virilisant a presque disparu aujourd'hui sous l'influence des missionnaires étrangers qui ont évangélisé la Papouasie-Nouvelle-Guinée dès le milieu du 19e siècle, elle reste de mise dans quelques populations isolées. Les papous Sambia n'étaient pas les seuls à la pratiquer puisque 20 à 30% des tribus de Papouasie-Nouvelle-Guinée l'honorait. L'initiation des jeunes avec le sperme se faisait aussi autrefois par sodomie. Le donateur de semence pouvait être surnommé "père-anus". Une insémination orale ou anale sans laquelle le jeune garçon n'était pas capable de libérer sa première semence, selon les croyances de certaines tribus.
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