Il en est à sa deuxième garde à vue

Eric Drouet le 3 janvier 2019 à Paris. © Michel Euler / AP / SIPA
Avant son interpellation et son placement en garde à vue du 2 janvier 2019, Eric Drouet avait déjà été mis en garde en vue le samedi 22 décembre 2018. Il est convoqué au tribunal correctionnel à la date du 15 février pour les faits du 2 janvier et du 22 décembre, afin d'être jugé pour "organisation d'une manifestation sans déclaration préalable" dans les deux cas. En attendant, il s'appuie sur les failles du droit à manifester. "Si on veut marcher en direction de tel endroit ou tel endroit, on a le droit. Il faut rester mobile, pas statique. L'attroupement est caractérisé que lorsqu'un groupe est statique", précise-t-il ainsi sur Facebook, après en avoir, dit-il, discuté avec son avocat. "On va jouer sur les termes", promet Eric Drouet dès le 28 décembre.
Avant son interpellation et son placement en garde à vue du 2 janvier 2019, Eric Drouet avait déjà été mis en garde en vue le samedi 22 décembre 2018. Il est convoqué au tribunal correctionnel à la date du 15 février pour les faits du 2 janvier et du 22 décembre, afin d'être jugé pour "organisation d'une manifestation sans déclaration préalable" dans les deux cas. En attendant, il s'appuie sur les failles du droit à manifester. "Si on veut marcher en direction de tel endroit ou tel endroit, on a le droit. Il faut rester mobile, pas statique. L'attroupement est caractérisé que lorsqu'un groupe est statique", précise-t-il ainsi sur Facebook, après en avoir, dit-il, discuté avec son avocat. "On va jouer sur les termes", promet Eric Drouet dès le 28 décembre.
© Michel Euler / AP / SIPA