Les produits de grande consommation, premiers concernés (2/2)

Le ministère de l'Agriculture. © Cécile Debise /Linternaute Magazine
Le 26 septembre 2018, Michel-Edouard Leclerc, à la tête des supermarchés éponymes, évoquait auprès du Parisien (article payant), à propos de ces hausses de prix de vente parfois drastiques sur les produits d'appels, "une ponction d'un milliard d'euros sur le pouvoir d'achat". Au ministère de l'Agriculture, on relativise plutôt : "Cette hausse des prix ne représentera que 7 % du panier de la ménagère".
N.B. : si les prix de centaines de produits alimentaires de grandes marques doivent donc grimper dès le 1er février dans les supermarchés, ceux des marques de distributeurs devraient eux baisser.
Le 26 septembre 2018, Michel-Edouard Leclerc, à la tête des supermarchés éponymes, évoquait auprès du Parisien (article payant), à propos de ces hausses de prix de vente parfois drastiques sur les produits d'appels, "une ponction d'un milliard d'euros sur le pouvoir d'achat". Au ministère de l'Agriculture, on relativise plutôt : "Cette hausse des prix ne représentera que 7 % du panier de la ménagère". N.B. : si les prix de centaines de produits alimentaires de grandes marques doivent donc grimper dès le 1er février dans les supermarchés, ceux des marques de distributeurs devraient eux baisser.
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