Le rôle dans lequel il se trouve "très mauvais"

© Alain ROBERT/SIPA (publiée le 02/02/2023)
Guillaume Canet porte un regard très critique sur son propre travail et reste un éternel insatisfait, que ça soit en tant qu'acteur que réalisateur. Dans les colonnes de Psychologies Magazine, il ne manque pas de revenir sur son rapport à l'humilité, nécessaire dans ce métier, surtout lorsqu'on peut alterner les succès et les ratés : "Une petite voix à l'intérieur de moi me dit de ne pas prendre ça trop au sérieux. Dès le succès de La Plage, j'ai cherché à me protéger. Je n'étais pas dupe. D'ailleurs, juste après, j'ai fait Vidocq, dans lequel j'étais très mauvais. Et je l'ai énormément payé. Ça calme et ça endurcit. Je n'ai plus reçu de propositions pendant un an." C'est ce qui l'a d'ailleurs poussé à écrire le scénario de Mon idole, son premier film en tant que réalisateur.
Guillaume Canet porte un regard très critique sur son propre travail et reste un éternel insatisfait, que ça soit en tant qu'acteur que réalisateur. Dans les colonnes de Psychologies Magazine, il ne manque pas de revenir sur son rapport à l'humilité, nécessaire dans ce métier, surtout lorsqu'on peut alterner les succès et les ratés : "Une petite voix à l'intérieur de moi me dit de ne pas prendre ça trop au sérieux. Dès le succès de La Plage, j'ai cherché à me protéger. Je n'étais pas dupe. D'ailleurs, juste après, j'ai fait Vidocq, dans lequel j'étais très mauvais. Et je l'ai énormément payé. Ça calme et ça endurcit. Je n'ai plus reçu de propositions pendant un an." C'est ce qui l'a d'ailleurs poussé à écrire le scénario de Mon idole, son premier film en tant que réalisateur.
© Alain ROBERT/SIPA (publiée le 02/02/2023)