Une cyberattaque ? Une défaillance matérielle ? Non une erreur humaine

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Lorsque Facebook et ses filiales ont disparu des écrans, tout le monde s'est demandé ce qu'il se passait. Presqu'immédiatement, des soupçons de cyberattaque géante ont émergées sur les autres réseaux sociaux. Certains adeptes de théories du complot y ont vu le début d'une campagne de déstabilisation mondiale organisée par des puissances obscures. Les plus prudents ont misé sur un problème technique et notamment un souci lié à ce qu'on appelle les serveurs DNS. Le détail de la panne est plus complexe, mais Facebook a expliqué que tout provient d'un changement de configuration sur les routeurs principaux qui coordonnent le trafic réseau propre à Facebook et ses services. La perturbation du trafic réseau a eu un effet en cascade et entraîné l'arrêt total des services.
Lorsque Facebook et ses filiales ont disparu des écrans, tout le monde s'est demandé ce qu'il se passait. Presqu'immédiatement, des soupçons de cyberattaque géante ont émergées sur les autres réseaux sociaux. Certains adeptes de théories du complot y ont vu le début d'une campagne de déstabilisation mondiale organisée par des puissances obscures. Les plus prudents ont misé sur un problème technique et notamment un souci lié à ce qu'on appelle les serveurs DNS. Le détail de la panne est plus complexe, mais Facebook a expliqué que tout provient d'un changement de configuration sur les routeurs principaux qui coordonnent le trafic réseau propre à Facebook et ses services. La perturbation du trafic réseau a eu un effet en cascade et entraîné l'arrêt total des services.
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