Le coupable facile : les serveurs de DNS

© Facebook
Lorsque la panne s'est déclarée, les différents outils d'analyse des réseaux ont très rapidement pointé du doigt les serveurs DNS de Facebook. A tort, puisque ceux-ci se sont simplement retrouvés à tourner à vide. Les serveurs DNS (Domain Name Service), c'est ce qui permet d'associer une adresse Web, par exemple facebook.com, ou linternaute.com, à une page internet. Cette page est identifiée par une adresse IP, une suite de 9 chiffres que l'on peut comparer à un numéro de téléphone. De sont côté, le serveur DNS est l'équivalent de l'appel d'un contact en se contentant de saisir son nom. Facebook dispose de ses propres serveur DNS et effectivement, ils tournaient à vide et n'associaient plus rien, puisqu'ils semblaient totalement débranchés des adresses IP. Pourtant, ils fonctionnaient parfaitement.
 
Lorsque la panne s'est déclarée, les différents outils d'analyse des réseaux ont très rapidement pointé du doigt les serveurs DNS de Facebook. A tort, puisque ceux-ci se sont simplement retrouvés à tourner à vide. Les serveurs DNS (Domain Name Service), c'est ce qui permet d'associer une adresse Web, par exemple facebook.com, ou linternaute.com, à une page internet. Cette page est identifiée par une adresse IP, une suite de 9 chiffres que l'on peut comparer à un numéro de téléphone. De sont côté, le serveur DNS est l'équivalent de l'appel d'un contact en se contentant de saisir son nom. Facebook dispose de ses propres serveur DNS et effectivement, ils tournaient à vide et n'associaient plus rien, puisqu'ils semblaient totalement débranchés des adresses IP. Pourtant, ils fonctionnaient parfaitement.  
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