Aussi étrange que cela puisse paraître, c'est donc une association, et pas l'Etat, qui assure la moitié des sauvetages au large (en coordination avec les Centres Régionaux Opérationnels de Surveillance et de Sauvetage). Si les bénévoles mènent les interventions (de façon totalement gratuite), il faut malgré tout que la SNSM finance l'acquisition et l'entretien de ses équipements. Pour cela, elle reçoit certes des subventions publiques (32 % de son budget) mais doit essentiellement compter sur les dons privés.
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