Sardou : "Provocateur" oui, "facho" non

2013, un dernier Olympia pour Michel Sardou © SADAKA EDMOND/SIPA
Tout au long de sa carrière, Michel Sardou a, à cause de ses sorties diverses et variées dans les médias, suscité de nombreuses polémiques. Surtout quand il parle de politique. "J'ai toujours été gaulliste : on m'a traité de facho ! Je ne vais pas me justifier jusqu'à la fin de mes jours", lançait-il au Point. Quant à la violence de certains de ses textes, qui lui ont valu de nombreuses critiques, il ajoute : "J'avais 25-30 ans à cette époque. J'écrivais huit chansons par jour. J'étais volontiers provocateur. Le fait d'être l'homme à abattre m'a galvanisé. Peut-être aurais-je du être plus prudent dans le choix de certains mots". 
Un exemple concret restera la polémique autour de la chanson "Je suis pour", pour laquelle on l'accusait de faire la promotion de la peine de mort, ce qu'il a toujours démenti.
Tout au long de sa carrière, Michel Sardou a, à cause de ses sorties diverses et variées dans les médias, suscité de nombreuses polémiques. Surtout quand il parle de politique. "J'ai toujours été gaulliste : on m'a traité de facho ! Je ne vais pas me justifier jusqu'à la fin de mes jours", lançait-il au Point. Quant à la violence de certains de ses textes, qui lui ont valu de nombreuses critiques, il ajoute : "J'avais 25-30 ans à cette époque. J'écrivais huit chansons par jour. J'étais volontiers provocateur. Le fait d'être l'homme à abattre m'a galvanisé. Peut-être aurais-je du être plus prudent dans le choix de certains mots".  Un exemple concret restera la polémique autour de la chanson "Je suis pour", pour laquelle on l'accusait de faire la promotion de la peine de mort, ce qu'il a toujours démenti.
© SADAKA EDMOND/SIPA