Michaël Goldman : des pleurs pour Jospin... au vote Sarkozy

Nicolas Sarjozy lors de la campagne législative de 2007 après son élection à la présidence de la république © REMY DE LA MAUVINIERE/AP/SIPA (publiée le 18/10/2022)
Issu d'une famille où le militantisme de gauche a été dominant (son oncle Pierre Goldman militant d'extrême gauche a été assassiné en 1979, année de sa naissance), Michael Goldman donnait quelques pistes sur son orientation politique en 2008. Un an après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, il avouait avoir pleuré lors de la défaite de Lionel Jospin face à Jacques Chirac en 1995, ne pas avoir voté en 2002, puis avoir voté pour Nicolas Sarkozy en 2007, se disant "grand déçu du PS". "Les valeurs de la famille ont toujours été l'intégration par le travail. Il faut récompenser ceux qui triment, ceux qui se lèvent tôt", précisait-il alors. Un écho à la France qui se lève tôt, slogan de Nicolas Sarkozy lors de sa campagne un an plus tôt...
Issu d'une famille où le militantisme de gauche a été dominant (son oncle Pierre Goldman militant d'extrême gauche a été assassiné en 1979, année de sa naissance), Michael Goldman donnait quelques pistes sur son orientation politique en 2008. Un an après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, il avouait avoir pleuré lors de la défaite de Lionel Jospin face à Jacques Chirac en 1995, ne pas avoir voté en 2002, puis avoir voté pour Nicolas Sarkozy en 2007, se disant "grand déçu du PS". "Les valeurs de la famille ont toujours été l'intégration par le travail. Il faut récompenser ceux qui triment, ceux qui se lèvent tôt", précisait-il alors. Un écho à la France qui se lève tôt, slogan de Nicolas Sarkozy lors de sa campagne un an plus tôt...
© REMY DE LA MAUVINIERE/AP/SIPA (publiée le 18/10/2022)