Peintre majeur de la fin du XIXe siècle explorant la mouvance post-impressionniste, Paul Signac tombe en 1892 sous le charme d'un petit village de pêcheurs nommé Saint-Tropez. Il y achète la villa La Hune où il installera son atelier et y peindra nombre de toiles dont La Bouée rouge, Saint-Tropez (1895). Sur les traces du maître, Henri Matisse et Maurice Denis s'attacheront à leur tour à ce petit port pittoresque, qui deviendra bientôt un repaire d'artistes.
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