Bizuté à son arrivée à Marseille

Ribéry et Nasri ont été très durs avec Valbuena à l'OM. © Christophe Ena/AP/SIPA
Dans une certaine logique malheureuse de l'acharnement qu'il subit, Mathieu Valbuena fait les frais d'un traitement de faveur à son arrivée à l'Olympique de Marseille en 2006. Dans un entretien à l'Equipe Magazine en 2013, il relate le bizutage infligé par certains joueurs de l'OM. "Quand je me souviens de ce que j'ai subi en arrivant à Marseille… Je n'étais rien" explique le milieu des Bleus. "Quand je les [Ribéry et Nasri] vois en sélection, je préfère en plaisanter parce que l'histoire s'est bien terminée. Sinon, j'en aurais gardé un sale souvenir" poursuit-il. "Il y a moins de familiarité. Dans le vestiaire marseillais, j'entends toujours "Oh, le Petit", mais c'est devenu affectueux au fur et à mesure que je m'imposais sur le terrain". Mais Valbuena, fort psychologiquement, arrive à passer au-dessus des moqueries, comme il l'a toujours fait : "Sur le moment, d'être systématiquement la victime de mauvaises plaisanteries, ça fait du mal. Personne d'autre dans le vestiaire n'aurait accepté d'être une cible comme moi. Je n'étais pas prêt à subir ça. Trop gentil. Je me suis endurci."
Dans une certaine logique malheureuse de l'acharnement qu'il subit, Mathieu Valbuena fait les frais d'un traitement de faveur à son arrivée à l'Olympique de Marseille en 2006. Dans un entretien à l'Equipe Magazine en 2013, il relate le bizutage infligé par certains joueurs de l'OM. "Quand je me souviens de ce que j'ai subi en arrivant à Marseille… Je n'étais rien" explique le milieu des Bleus. "Quand je les [Ribéry et Nasri] vois en sélection, je préfère en plaisanter parce que l'histoire s'est bien terminée. Sinon, j'en aurais gardé un sale souvenir" poursuit-il. "Il y a moins de familiarité. Dans le vestiaire marseillais, j'entends toujours "Oh, le Petit", mais c'est devenu affectueux au fur et à mesure que je m'imposais sur le terrain". Mais Valbuena, fort psychologiquement, arrive à passer au-dessus des moqueries, comme il l'a toujours fait : "Sur le moment, d'être systématiquement la victime de mauvaises plaisanteries, ça fait du mal. Personne d'autre dans le vestiaire n'aurait accepté d'être une cible comme moi. Je n'étais pas prêt à subir ça. Trop gentil. Je me suis endurci."
© Christophe Ena/AP/SIPA