En avril 2008, Jean-Marc Furlan, alors entraîneur dur RC Strasbourg, excédé par le comportement de l'Italien Fabio Grosso, joueur de l'Olympique lyonnais, s'est complètement laissé aller en hurlant : "Italien de merde, macaroni". Un simple dérapage verbal causé par l'adrénaline du match ? Pas vraiment puisque Furlan a insisté quelques minutes plus tard en conférence de presse : "On ne peut pas dire que l'Italien a renié sa race ou ses gènes".... Devant le tollé général provoqué par cet incident, le coach a fini par s'excuser quelques jours plus tard en précisant : "Le mot racisme m'est totalement étranger et, ayant des origines directes italiennes, je ne peux accepter que certains puissent mettre en cause mon attachement à l'égard de ce pays". Pas vraiment convaincant.
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