Charline Vanhoenacker : "Cyril Hanouna incarne magnifiquement notre époque"

Charline Vanhoenacker © Aurore Belot / Pacific Pr/SIPA
Cette année, Charline Vanhoenacker et Cyril Hanouna étaient en concurrence directe à la radio, chacun animant une émission sur la même tranche horaire, respectivement, "Si tu écoutes j'annule tout" (France Inter) et "Les pieds dans le plat" (Europe 1). Une bataille largement remportée par la jeune humoriste belge dont le programme a été renouvelé pour l'année prochaine tandis qu'Hanouna a été licencié d'Europe 1 pour cause d'audiences insuffisantes. Mais ce succès n'a pas empêché Charline Vanhoenacker de se moquer toute l'année de l'animateur, notamment lorsqu'elle lui a ironiquement "rendu hommage" le 1er juillet dernier. "Sans lui à la radio, cela ne sera plus pareil, lui qui nous incitait chaque jour à nous dépasser, a-t-elle commencé. C'est un peu le dieu de l'audiovisuel... On a le président de la République qu'on mérite, l'Europe qu'on mérite, la météo qu'on mérite, on peut donc dire que Cyril Hanouna incarne magnifiquement bien notre époque".
Cette année, Charline Vanhoenacker et Cyril Hanouna étaient en concurrence directe à la radio, chacun animant une émission sur la même tranche horaire, respectivement, "Si tu écoutes j'annule tout" (France Inter) et "Les pieds dans le plat" (Europe 1). Une bataille largement remportée par la jeune humoriste belge dont le programme a été renouvelé pour l'année prochaine tandis qu'Hanouna a été licencié d'Europe 1 pour cause d'audiences insuffisantes. Mais ce succès n'a pas empêché Charline Vanhoenacker de se moquer toute l'année de l'animateur, notamment lorsqu'elle lui a ironiquement "rendu hommage" le 1er juillet dernier. "Sans lui à la radio, cela ne sera plus pareil, lui qui nous incitait chaque jour à nous dépasser, a-t-elle commencé. C'est un peu le dieu de l'audiovisuel... On a le président de la République qu'on mérite, l'Europe qu'on mérite, la météo qu'on mérite, on peut donc dire que Cyril Hanouna incarne magnifiquement bien notre époque".
© Aurore Belot / Pacific Pr/SIPA