Traumatisée par le harcèlement de rue

© PJB/SIPA
Comme de nombreuses femmes, Audrey Fleurot a été victime de harcèlement de rue au cours de sa vie. Notamment dans sa jeunesse, comme elle a pu le préciser en interview : "Plus jeune, quand je rentrais le soir, je changeais mes talons pour des baskets, j'attachais mes cheveux, je mettais une capuche. J'ai commencé à faire du scooter à 20 ans parce que je n'en pouvais plus de me faire importuner dans le métro." La situation a été particulièrement difficile à vivre durant une certaine période de sa jeunesse : "à un moment, tu me demandais l'heure dans la rue, je sortais la bombe lacrymo tellement j'étais traumatisée."
Comme de nombreuses femmes, Audrey Fleurot a été victime de harcèlement de rue au cours de sa vie. Notamment dans sa jeunesse, comme elle a pu le préciser en interview : "Plus jeune, quand je rentrais le soir, je changeais mes talons pour des baskets, j'attachais mes cheveux, je mettais une capuche. J'ai commencé à faire du scooter à 20 ans parce que je n'en pouvais plus de me faire importuner dans le métro." La situation a été particulièrement difficile à vivre durant une certaine période de sa jeunesse : "à un moment, tu me demandais l'heure dans la rue, je sortais la bombe lacrymo tellement j'étais traumatisée."
© PJB/SIPA