Une adolescente très mal dans sa peau

© PJB/SIPA
Audrey Fleurot ne le cache pas dans les nombreuses interviews qu'elle a pu donner au cours de sa carrière : adolescente, elle souffrait en raison de son physique. "Jusqu'à 18 ans, j'étais mal dans ma peau, précise-t-elle auprès de Psychologies magazine. Je me sentais grosse, j'avais des lunettes à double foyer..." Auprès de Libération, elle précise que son statut de femme fatale que lui érigent les cinéastes et certains médias sont en opposition avec le regard qu'elle porte encore aujourd'hui sur elle-même : "Quand vous avez grandi en étant "la Grosse", vous êtes "la Grosse" toute votre vie. Vous ne vous voyez pas comme vous êtes réellement. Je ne peux pas me prendre au sérieux physiquement. J'ai toujours l'impression que je peux me réveiller un matin et revenir à la case départ."
Audrey Fleurot ne le cache pas dans les nombreuses interviews qu'elle a pu donner au cours de sa carrière : adolescente, elle souffrait en raison de son physique. "Jusqu'à 18 ans, j'étais mal dans ma peau, précise-t-elle auprès de Psychologies magazine. Je me sentais grosse, j'avais des lunettes à double foyer..." Auprès de Libération, elle précise que son statut de femme fatale que lui érigent les cinéastes et certains médias sont en opposition avec le regard qu'elle porte encore aujourd'hui sur elle-même : "Quand vous avez grandi en étant "la Grosse", vous êtes "la Grosse" toute votre vie. Vous ne vous voyez pas comme vous êtes réellement. Je ne peux pas me prendre au sérieux physiquement. J'ai toujours l'impression que je peux me réveiller un matin et revenir à la case départ."
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