Valérie Trierweiler : encore un tweet contre Hollande ?
Il y a eu le tweet anti-Royal en 2012 puis le livre choc sur sa rupture avec François Hollande en 2014. Valérie Treirweiler vient de croiser ses deux grandes marottes du moment, Twitter et la vengeance contre son ancien compagnon, avec une troisième : la défense des jeunes filles enlevées par Boko Haram au Nigéria. L'ancienne Première dame a posté un tweet de plus pour attirer l'attention sur le sort de ces centaines de lycéennes enlevée par les islamistes et souvent traitée en esclaves. Et elle a même repris les propos de Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, pour ce faire : "'Il faut continuer la pression' dit Fabius au sujet des lycéennes nigérianes enlevées dont on nous annonçait la libération#BringBackOurGirls", a ainsi posté la journaliste de Paris Match.
"Il faut continuer la pression"dit Fabius au sujet des lycéennes nigérianes enlevées dont on nous annonçait la libération#BringBackOurGirls
? Valerie Trierweiler (@valtrier) 27 Octobre 2014
Rien de très cinglant nous direz-vous. Mais des mauvais esprits ont vu dans ce message un tacle de plus adressé à François Hollande. En effet, alors qu'un accord entre Boko Haram et les autorités nigérianes semblait se profiler il y a peu, le chef de l'Etat s'était risqué à dire que la libération des lycéennes était proche. Le 17 octobre François Hollande évoquait ainsi "la libération des jeunes filles qui avaient été enlevées et qui ont été enfin libérées". Or si quelques libérations ont eu lieu, la majorité des quelque 200 filles sont toujours retenues. Le "dont on nous annonçait la libération" utilisé par Valérie Trierweiler dans son tweet prend alors tout son sens pour certains. Rien que des mauvaises langues !