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L'Internaute Magazine / Olivier Bonnet
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La planche de bord de la Mercedes Classe C break est strictement identique
à celle de la berline. Austère mais de très bonne facture,
tout est bien pensé. Un bémol tout de même, un unique
comodo quelque peu déstabilisant, contrôle l'ensemble des commandes
(essuie-glaces, phares...).
Du côté de l'assise, rien à redire, les sièges avant
sont équipés de série dun soutien lombaire, avec une hauteur et une inclinaison
de siège réglables électriquement. Grâce à cette assise toute
électrique avec fonction "mémoires" en option, il est possible
d'enregistrer vos préférences de réglages du siège et
dautres encore, comme la position du volant, la hauteur de lappuie-tête
ou le positionnement des rétroviseurs extérieurs. Rien que ça !
Le système de navigation (disponible en option) permet de piloter les fonctions
audio, téléphonique et de navigation. Intégré dans la console centrale, l'écran
7 pouces rabattable est positionné à hauteur du combiné dinstruments dans
le champ visuel du conducteur.
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L'Internaute Magazine / Olivier Bonnet
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De plus, il dispose d'une commande vocale, mais le bémol est qu'une
simple requête devient rapidement un casse-tête. Un dispositif
Bluetooth est également intégré dans le véhicule pour téléphoner
en mains-libres. Astucieux, le lecteur de DVD lit les DVD audio et vidéo,
mais également les CD et les fichiers au format MP3.
La Mercedes Classe C bénéficie d'une climatisation automatique
bi-zone, avec la possibilité pour les passagers arrière de
contrôler la température. La marque à l'étoile
frappe fort. Malgré un espace aux jambes à l'arrière
qui n'est pas gigantesque, tout est fait pour rendre les trajets agréables.
