Contraste = mouvement
Le cerveau confond analyse des contrastes et mouvement. Lorsque la vision périphérique capte des variations de luminosité, le cerveau interprète cela comme un mouvement. En revanche, la vision centrale, elle, ne se laisse pas dupper : si on fixe un serpent, il ne bouge plus... mais les autres continuent de s'enrouler.
Chaque année, un congrès en Floride réunit les chercheurs en perception visuelle. Ils étudient les illusions d'optiques afin de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau.
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