Le meldonium, le nouveau piège

Maria Sharapova a été contrôlée positive au meldonium. © Damian Dovarganes/AP/SIPA
Cela fait peu de temps que l'on entend parler du meldonium dans les affaires de dopage, et pour cause : le produit, très utilisé dans les pays de l'Est, n'a été inscrit sur la liste des substances interdites qu'au 1er janvier 2016 par l'Agence mondiale antidopage, inquiète que la substance soit désormais utilisée dans un but d'amélioration des performances (elle est destinée à la base au traitement des angines et des maladies cardiaques).

Un changement de réglementation qui a fait plusieurs victimes, dont Maria Sharapova en mars 2016. La joueuse de tennis russe avait expliqué utiliser le meldonium pour traiter un déficit en magnésium, une arythmie cardiaque et en raison de cas de diabète dans sa famille, et précisé qu'elle ignorait que la réglementation avait évolué. "Une énorme erreur", selon ses propres termes, qui lui avait valu une suspension de 15 mois.
Cela fait peu de temps que l'on entend parler du meldonium dans les affaires de dopage, et pour cause : le produit, très utilisé dans les pays de l'Est, n'a été inscrit sur la liste des substances interdites qu'au 1er janvier 2016 par l'Agence mondiale antidopage, inquiète que la substance soit désormais utilisée dans un but d'amélioration des performances (elle est destinée à la base au traitement des angines et des maladies cardiaques). Un changement de réglementation qui a fait plusieurs victimes, dont Maria Sharapova en mars 2016. La joueuse de tennis russe avait expliqué utiliser le meldonium pour traiter un déficit en magnésium, une arythmie cardiaque et en raison de cas de diabète dans sa famille, et précisé qu'elle ignorait que la réglementation avait évolué. "Une énorme erreur", selon ses propres termes, qui lui avait valu une suspension de 15 mois.
© Damian Dovarganes/AP/SIPA