Les bonbons cocaïnés de Simoni

Gilberto Simoni et ses bonbons à la coca. © Natalie - Fotolia

Le cycliste Gilberto Simoni est "rattrapé par la patrouille" en 2002. Il est exclu du Tour d'Italie après la révélation de deux contrôles positifs à la cocaïne (un pratiqué sur le Tour du Trentin un mois plus tôt, et un sur le Giro).

L'Italien se défend : "Je suis un cycliste, pas un cocaïnomane". Il va donner plusieurs explications pour ce contrôle positif : il serait dû à une anesthésie chez le dentiste, puis à l'absorption d'une boisson aux extraits de thé... Finalement, il décide de charger sa tatie : la cocaïne proviendrait de bonbons rapportés du Pérou par sa tante.

Cette excuse a suffi à la Fédération italienne, qui a laissé le bénéfice du doute à Gilberto Simoni.

Le cycliste Gilberto Simoni est "rattrapé par la patrouille" en 2002. Il est exclu du Tour d'Italie après la révélation de deux contrôles positifs à la cocaïne (un pratiqué sur le Tour du Trentin un mois plus tôt, et un sur le Giro). L'Italien se défend : "Je suis un cycliste, pas un cocaïnomane". Il va donner plusieurs explications pour ce contrôle positif : il serait dû à une anesthésie chez le dentiste, puis à l'absorption d'une boisson aux extraits de thé... Finalement, il décide de charger sa tatie : la cocaïne proviendrait de bonbons rapportés du Pérou par sa tante. Cette excuse a suffi à la Fédération italienne, qui a laissé le bénéfice du doute à Gilberto Simoni.
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