C'est pas d'ma faute Monsieur, j'ai trop fait l'amour à ma femme : vous trouvez ça crédible ?! L'athlète américain Dennis Mitchell, médaillé d'argent aux JO d'Atlanta en 1996 sur le relais 4x100 m, n'a pas trouvé mieux pour justifier en 1998 un taux anormalement élevé de testostérone. Il a en effet expliqué avoir bu cinq bouteilles de bière et avoir fait l'amour quatre fois à sa femme la nuit précédant l'épreuve et le contrôle anti-dopage. "C'était son anniversaire, elle méritait bien de telles faveurs" : la grande classe... Le romantique a convaincu la fédération américaine (très fleur bleue apparemment...) mais pas la fédération internationale, qui l'a suspendu pour deux ans.
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