La macabre découverte de la rue Le Sueur

Extrait de la une du journal "La France Socialiste", du 22 mars 1944 : "Les mystères de la rue Le Sueur". © Capture "La France Socialiste"
La Gestapo arrête Marcel Petiot en mai 1943. Elle le soupçonne d'appartenir à la Résistance. Il sera libéré faute de preuve, après 7 mois de torture. En mars 1944, alertés par les habitants de la rue Le Sueur, qui décrivent une odeur pestilentielle, les policiers découvrent enfin des restes et de corps dépecés, prêts à être incinérés dans la maison à l'abandon. La maison de l'horreur fait la une de la presse et ferait presque oublier l'Occupation. Petiot, lui, reste introuvable. On ne sait comment il a pu échapper aux forces de l'ordre, mais il se cache après la découverte du charnier.
La Gestapo arrête Marcel Petiot en mai 1943. Elle le soupçonne d'appartenir à la Résistance. Il sera libéré faute de preuve, après 7 mois de torture. En mars 1944, alertés par les habitants de la rue Le Sueur, qui décrivent une odeur pestilentielle, les policiers découvrent enfin des restes et de corps dépecés, prêts à être incinérés dans la maison à l'abandon. La maison de l'horreur fait la une de la presse et ferait presque oublier l'Occupation. Petiot, lui, reste introuvable. On ne sait comment il a pu échapper aux forces de l'ordre, mais il se cache après la découverte du charnier.
© Capture "La France Socialiste"