Le procès du "Dr Satan"

Mars 1946, au procès du docteur Marcel Petiot (debout). Au premier plan, son avocat Me René Floriot. © ARCHIVES AFP
"Petiot incarne tout le problème de la responsabilité pénale et son avocat René Floriot, malgré sa célébrité, l'a envoyé directement à la guillotine en ne soulevant pas cette question", a estimé dans une interview à l'AFP l'historien Claude Quétel, auteur de "L'effrayant Docteur Petiot" (Perrin 2014). Celui que certains surnomment "le Dr Satan" et jugé pour le meurtre de 27 personnes, plaisante ou dort pendant l'audience. "Simuler la folie à ce point-là, c'est être fou!" observe Claude Quétel. Après une plaidoirie de 6 heures, Marcel Petiot est condamné à mort pour 24 meurtres.
"Petiot incarne tout le problème de la responsabilité pénale et son avocat René Floriot, malgré sa célébrité, l'a envoyé directement à la guillotine en ne soulevant pas cette question", a estimé dans une interview à l'AFP l'historien Claude Quétel, auteur de "L'effrayant Docteur Petiot" (Perrin 2014). Celui que certains surnomment "le Dr Satan" et jugé pour le meurtre de 27 personnes, plaisante ou dort pendant l'audience. "Simuler la folie à ce point-là, c'est être fou!" observe Claude Quétel. Après une plaidoirie de 6 heures, Marcel Petiot est condamné à mort pour 24 meurtres.
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