Trop vite ?

40 personnes ont trouvé la mort en 2011 lors de cette collision © AP/SIPA
Le TGV chinois doit-il freiner sa progression ? En 2011, deux rames entrent en collision près de Wenzhou à cause d'un signal défectueux. Quatre voitures tombent d'un viaduc et s'écrasent en contrebas. L'accident fait 40 morts. La catastrophe a alimenté une contestation sans précédent : les citoyens et médias chinois avaient réclamé la démission d'officiels, une chasse à la corruption et un moratoire sur la construction de nouvelles lignes. Les chantiers ont repris quelques mois plus tard, à la même allure. Seule concession : la vitesse maximale en circulation commerciale a été réduite de 350 à 300 km/h. La sécurité du matériel ou encore la volonté d'imposer du matériel national sur la ligne Chine-Russie-Canada-Etats-Unis pourrait également jouer en défaveur du projet chinois.
Le TGV chinois doit-il freiner sa progression ? En 2011, deux rames entrent en collision près de Wenzhou à cause d'un signal défectueux. Quatre voitures tombent d'un viaduc et s'écrasent en contrebas. L'accident fait 40 morts. La catastrophe a alimenté une contestation sans précédent : les citoyens et médias chinois avaient réclamé la démission d'officiels, une chasse à la corruption et un moratoire sur la construction de nouvelles lignes. Les chantiers ont repris quelques mois plus tard, à la même allure. Seule concession : la vitesse maximale en circulation commerciale a été réduite de 350 à 300 km/h. La sécurité du matériel ou encore la volonté d'imposer du matériel national sur la ligne Chine-Russie-Canada-Etats-Unis pourrait également jouer en défaveur du projet chinois.
© AP/SIPA