Valérie Trierweiler : son baiser à François Hollande et sa nouvelle gaffe sur Twitter
[Mis à jour le 29 mars à 14h15] La compagne du chef de l'Etat voulait-elle envoyer un message hier soir à destination de la presse ? Alors que la rumeur prêtant une liaison à François Hollande avec l'actrice Julie Gayet est de plus en plus commentée, la première dame est venu soutenir son compagnon, l'embrassant devant tous les journalistes sur le plateau de France 2. Quelques instants avant son interview face à David Pujadas, Valérie Trierweiler a osé ce geste tendre, qui rappelle celui du 6 mai 2012, lorsque la compagne du président avait demandé explicitement à François Hollande de l'embrasser sur la scène de la Bastille.
D'aucuns prêteront à Valérie Trierweiler des intentions faciles à interpréter : si la journaliste cherchait à montrer qu'elle partage, plus que jamais, la vie de François Hollande, elle ne pouvait pas mieux s'y prendre. La compagne du chef de l'Etat, régulièrement attaquée pour ne pas être mariée avec François Hollande, est probablement en recherche de légitimité. Une plainte a même été déposée dernièrement pour "détournement de fonds publics à son encontre, lui reprochant de bénéficier des ors de l'Elysée. Le baiser sur le plateau de France 2 prend ainsi une dimension presque "politique".
La veille, Valérie Trierweiler avait renoué avec Twitter, postant un message des plus mystérieux : un simple "1". Les twittos s'en sont donnés à coeur joie (voir images), amusés du message. La première dame rajoute alors sur le réseau social : "Pardon, erreur de manipulation. Bonne nuit à tous. Et demain c'est sur France deux. :) )". Etait-ce une manière de soutenir l'intervention de François Hollande, ou encore d'attirer l'attention sur le baiser qu'elle entendait donner à son compagnon ?

Sur Twitter, le tweet et le baiser font réagir médias et observateurs, qui y vont de leurs petits commentaires :
EN VIDEO : Valérie Trierweiler veut malgré tout protéger sa vie privée. Elle poursuit en justice les auteurs de "La frondeuse", une biographie non autorisée sur elle :