Gifle de Valérie Trierweiler : altercation dans un bar, une plainte déposée pour "coups et blessure"

Gifle de Valérie Trierweiler : altercation dans un bar, une plainte déposée pour "coups et blessure" BAFFE - Selon RTL, l'ex-compagne du président de la République, Valérie Trierweiler, a giflé le client d'un bar à Paris. Ce dernier a porté plainte pour "coups et blessures".

[Dernière mise à jour, le vendredi 13 mars 2015 à 10h28] Une altercation a éclaté jeudi matin aux abords du café Régalia, un bar du XVe arrondissement de Paris, entre un client... et Valérie Trierweiler. D'après RTL, l'homme aurait fait une remarque déplacée à l'auteure du best-seller "Merci pour ce moment", lui demandant ironiquement des nouvelles de François Hollande. Le ton est monté. Et Valérie Trierweiler, l'ex-compagne du président de la République, a exigé des excuses, ce que le client lui a refusé. Elle a fini par le gifler, visiblement excédée. L'homme a déposé plainte pour "coups et blessures" au commissariat du quartier. Valérie Trierweiler a fini par réagir sur Twitter, aux alentours de 18 heures : "Un seul mot #Stopàlamuflerie", a-t-elle écrit (pour la définition de "muflerie", c'est ici). D'après Le Parisien/Aujourd'hui en France du vendredi 13 mars, le client victime du courroux de l'ex-Première dame est un certain Mohammed Rizki, 33 ans. Il était notamment candidat UMP aux dernières élections municipales à Compiègne (Oise).

En octobre dernier, France Dimanche révélait que Valérie Trierweiler avait giflé l'ex-femme de Michel Sapin (l'actuel ministre des Finances) lors d'une dispute en boîte de nuit. Selon l'hebdomadaire, qui citait plusieurs témoins, Valérie Trierweiler, "passablement éméchée", avait violemment agressé son amie, à coups de "de gifles, tirage de cheveux, de griffures". La dispute aurait éclaté parce que l'ex du ministre lui aurait fait savoir qu'elle n'avait pas apprécié la publication du livre "Merci pour ce moment".

Cette bagarre en boîte de nuit a été confirmée par Le Canard enchaîné, mais en partie démentie par Valérie Trierweiler. Elle a préféré parler de "simple dispute", et a nié la thèse de l'accrochage violent. Sur Twitter, elle avait publié une photo d'elle-même en train de danser la samba, le sourire aux lèvres, accompagnée du commentaire suivant : "Toutes ces rumeurs calomnieuses sont décidément... renversantes !"