…et les regrets sur la politique

14 juillet 1993. Mitterrand et Tapie lors d'une garden party à l'Elysée. © WITT / SIPA

Quand sa vie a basculé dans la politique, au début des années 1990, Bernard Tapie déjeunait avec le président François Mitterrand, "toujours chez Séguéla" (le publicitaire). "[...] Le chef de l'Etat est venu, mais à reculons. [...] Il a cependant été convenu qu'il filerait à 14h30, il a une après-midi très chargée. Deux heures après, il était toujours là", écrit FOG. Tapie a changé de destin personnel ce jour-là, observe Jacques Séguéla bien des années plus tard. Quand à Tapie, qui reconnaît que ce genre de situation est "toute l'histoire de sa vie", il jure n'avoir, là encore, "rien décidé" et s'être contenté d'entrer par la porte qu'on lui avait "ouverte". "Et voilà que commence le parcours politique qui va me conduire à la mort, oui, il n'y a pas d'autre mot, à ma mort.", résume-t-il ensuite, avec le recul.

Quand sa vie a basculé dans la politique, au début des années 1990, Bernard Tapie déjeunait avec le président François Mitterrand, "toujours chez Séguéla" (le publicitaire). "[...] Le chef de l'Etat est venu, mais à reculons. [...] Il a cependant été convenu qu'il filerait à 14h30, il a une après-midi très chargée. Deux heures après, il était toujours là", écrit FOG. Tapie a changé de destin personnel ce jour-là, observe Jacques Séguéla bien des années plus tard. Quand à Tapie, qui reconnaît que ce genre de situation est "toute l'histoire de sa vie", il jure n'avoir, là encore, "rien décidé" et s'être contenté d'entrer par la porte qu'on lui avait "ouverte". "Et voilà que commence le parcours politique qui va me conduire à la mort, oui, il n'y a pas d'autre mot, à ma mort.", résume-t-il ensuite, avec le recul.
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