...Christine Lagarde ne serait pas déjà au FMI

Christine Lagarde © International Monetary Found / Montage L'Internaute
La première grande gagnante de l'affaire DSK est bien évidemment Christine Lagarde. Ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy depuis 2007, cette ancienne avocate et femme d'affaires, ex-dirigeante du prestigieux cabinet Baker & McKenzie, atteint sans doute le sommet de sa carrière en reprenant le poste de directeur général du FMI. Mais cette Parisienne de 51 ans, très américanophile, a d'autres motifs de satisfaction : il se dit que cette nomination tombe à point nommé pour elle, qui voulait éviter la campagne présidentielle, ses meetings, ses marques de soutiens (forcées ?) au candidat et les "boules puantes" qui vont avec. Définitivement installée dans l'ancien siège de DSK, elle semble certaine, en outre, de voir sa mise en cause dans l'affaire Tapie se dégonfler rapidement.
La première grande gagnante de l'affaire DSK est bien évidemment Christine Lagarde. Ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy depuis 2007, cette ancienne avocate et femme d'affaires, ex-dirigeante du prestigieux cabinet Baker & McKenzie, atteint sans doute le sommet de sa carrière en reprenant le poste de directeur général du FMI. Mais cette Parisienne de 51 ans, très américanophile, a d'autres motifs de satisfaction : il se dit que cette nomination tombe à point nommé pour elle, qui voulait éviter la campagne présidentielle, ses meetings, ses marques de soutiens (forcées ?) au candidat et les "boules puantes" qui vont avec. Définitivement installée dans l'ancien siège de DSK, elle semble certaine, en outre, de voir sa mise en cause dans l'affaire Tapie se dégonfler rapidement.
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