Le plus mauvais élève : l'UMP

Le parti de Jean-François Copé présente moins de 30 % de femmes aux législatives. © Virginie Rivière / Montage L'Internaute

L'UMP est, pour ces législatives 2012, le plus mauvais élève de la parité. Cette formation politique présente moins de 30 % de femmes. Précisément, 25,7 % des candidats de l'UMP sont des candidates, soit un point de moins qu'en 2007. Durant la dernière législature, plus de 20 millions d'euros ont été retenus des dotations à ce parti. Une retenue qui va encore augmenter à la faveur d'une nouvelle loi.


Copé plaide coupable

Jean-François Copé a justifié son manquement à la loi. "Je plaide coupable avec regret, c'est un arbitrage que nous avons eu à rendre et qui était difficile dès lors que nous avions 317 députés sortants et qu'une bonne part d'entre eux se représentent", a-t-il défendu sur RMC et BFM TV.
Déjà en 2011, l'Observatoire de la parité avait classé l'UMP à la dernière place dans ce domaine 
: seulement 18,6 % de femmes avaient été investies pour les cantonales. Et Valérie Rosso-Debord, députée UMP a reconnu sur notre plateau qu'à "l'UMP, en province, c'est plus dur d'être une femme".

L'UMP est, pour ces législatives 2012, le plus mauvais élève de la parité. Cette formation politique présente moins de 30 % de femmes. Précisément, 25,7 % des candidats de l'UMP sont des candidates, soit un point de moins qu'en 2007. Durant la dernière législature, plus de 20 millions d'euros ont été retenus des dotations à ce parti. Une retenue qui va encore augmenter à la faveur d'une nouvelle loi. Copé plaide coupable Jean-François Copé a justifié son manquement à la loi. "Je plaide coupable avec regret, c'est un arbitrage que nous avons eu à rendre et qui était difficile dès lors que nous avions 317 députés sortants et qu'une bonne part d'entre eux se représentent", a-t-il défendu sur RMC et BFM TV. Déjà en 2011, l'Observatoire de la parité avait classé l'UMP à la dernière place dans ce domaine : seulement 18,6 % de femmes avaient été investies pour les cantonales. Et Valérie Rosso-Debord, députée UMP a reconnu sur notre plateau qu'à "l'UMP, en province, c'est plus dur d'être une femme".
© Virginie Rivière / Montage L'Internaute