Rachida Dati

Rachida Dati © Thierry Plessis

Ministre sortante (Justice)


Si la vocation européenne de Michel Barnier semblait évidente, celle de Rachida Dati l'est un peu moins. C'est entre autre ce qui lui a valu tant d'accusations de "désinvolture" lors de la campagne des européennes. L'ancienne garde des Sceaux aurait en fait été contrainte et forcée d'accepter le poste d'eurodéputé pour sortir la tête haute d'un gouvernement où elle n'était sans doute plus la bienvenue. Face à la fronde des magistrats et au "lâchage" de Nicolas Sarkozy, la ministre a envoyé un fascicule à la presse intitulé "Parce qu'il fallait moderniser la justice de la France pour l'adapter au XXIe siècle" où elle vante son bilan et dénonce l'attitude des magistrats.

Ministre sortante (Justice) Si la vocation européenne de Michel Barnier semblait évidente, celle de Rachida Dati l'est un peu moins. C'est entre autre ce qui lui a valu tant d'accusations de "désinvolture" lors de la campagne des européennes. L'ancienne garde des Sceaux aurait en fait été contrainte et forcée d'accepter le poste d'eurodéputé pour sortir la tête haute d'un gouvernement où elle n'était sans doute plus la bienvenue. Face à la fronde des magistrats et au "lâchage" de Nicolas Sarkozy, la ministre a envoyé un fascicule à la presse intitulé "Parce qu'il fallait moderniser la justice de la France pour l'adapter au XXIe siècle" où elle vante son bilan et dénonce l'attitude des magistrats.
© Thierry Plessis