Les mots de Dominique Strauss-Kahn

Dominique Strauss-Kahn © International Monetary Fund

Ministre de l'Economie de la gauche, Dominique Strauss-Kahn fut ensuite simple député avant de devenir le directeur du FMI qu'on connaît aujourd'hui. Les thématiques abordées sont donc principalement parlementaires, même si DSK s'attache particulièrement à sa famille politique : la "Gauche", les "Socialistes", le "Parti" et surtout à "l'Europe". Au milieu de la période sélectionnée, le "Référendum" de 2005 pèse dans le vocable de ce partisan du "Oui de gauche" à l'époque.

Les mots qui font la différence :

Confirmation de l'importance du référendum et des débats qu'il a provoqués à gauche, c'est le mot "Traité" qui présente le plus fort écart chez DSK puisqu'il est utilisé 14 fois plus que la moyenne, suivi de "PS" (13 fois plus), "Socialistes" (10 fois plus) et... "Référendum" (9 fois plus). Dans l'analyse du Top-20 comme dans celle des écarts avec le reste de la classe politique, il faut cependant souligner que les thématiques économiques ne restent cependant jamais bien loin de la bouche de DSK.

Ministre de l'Economie de la gauche, Dominique Strauss-Kahn fut ensuite simple député avant de devenir le directeur du FMI qu'on connaît aujourd'hui. Les thématiques abordées sont donc principalement parlementaires, même si DSK s'attache particulièrement à sa famille politique : la "Gauche", les "Socialistes", le "Parti" et surtout à "l'Europe". Au milieu de la période sélectionnée, le "Référendum" de 2005 pèse dans le vocable de ce partisan du "Oui de gauche" à l'époque. Les mots qui font la différence : Confirmation de l'importance du référendum et des débats qu'il a provoqués à gauche, c'est le mot "Traité" qui présente le plus fort écart chez DSK puisqu'il est utilisé 14 fois plus que la moyenne, suivi de "PS" (13 fois plus), "Socialistes" (10 fois plus) et... "Référendum" (9 fois plus). Dans l'analyse du Top-20 comme dans celle des écarts avec le reste de la classe politique, il faut cependant souligner que les thématiques économiques ne restent cependant jamais bien loin de la bouche de DSK.
© International Monetary Fund