#TaubiraDémission

© Capture Twitter
Pendant son mandat exécutif de ministre de la Ve République, la garde des Sceaux aura été la cible de la droite, qui l'a accusé tour à tour d'"angélisme" envers les détenus, d'une supposée volonté farouche de vider les prisons ou encore de laxisme, en particulier au sujet de la réforme pénale mettant en place des peines de probation, alternatives aux peines de prison. La ministre les tacle en retour en soulignant qu'ils ont favorisé le tout-carcéral. Le résultat sera visible sur les réseaux sociaux. Les échanges de piques sont vite symbolisés du côté des opposants par un nouvel hashtag, "#TaubiraDémission". Le hashtag, utilisé très régulièrement ces quatre dernières années a connu un regain spectaculaire depuis le 27 janvier, date du départde Christaine Taubira.
Pendant son mandat exécutif de ministre de la Ve République, la garde des Sceaux aura été la cible de la droite, qui l'a accusé tour à tour d'"angélisme" envers les détenus, d'une supposée volonté farouche de vider les prisons ou encore de laxisme, en particulier au sujet de la réforme pénale mettant en place des peines de probation, alternatives aux peines de prison. La ministre les tacle en retour en soulignant qu'ils ont favorisé le tout-carcéral. Le résultat sera visible sur les réseaux sociaux. Les échanges de piques sont vite symbolisés du côté des opposants par un nouvel hashtag, "#TaubiraDémission". Le hashtag, utilisé très régulièrement ces quatre dernières années a connu un regain spectaculaire depuis le 27 janvier, date du départde Christaine Taubira.
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