"Tout le monde me disait que j'étais folle"

Agnès Buzyn devant une affiche de campagne des municipales en 2020. © Tristan Reynaud/SIPA (publiée le 26/10/2022)
Devant l'Assemblée en juin 2020, Agnès Buzyn assure que le ministère est néanmoins sur les rails quand elle s'en va. "Je quitte le ministère en ayant le sentiment d'avoir fait la bonne préparation [...]. En fonction, je n'ai à aucun moment sous-estimé le risque et j'ai préparé notre système de santé", déclare-t-elle aux députés. Dans le Monde, elle confirme avec des propos plus crus : "Ce qui est certain, c'est que j'avais un pressentiment, et tout le monde me disait que j'étais folle", "tout le monde s'en foutait", lâche-t-elle en cascade en évoquant les messages et textos qu'elle va continuer à envoyer pendant les municipales, "dans le vide". "J'ai fait le maximum de ce qu'il était possible de faire à cette période-là", conclut-elle.
Devant l'Assemblée en juin 2020, Agnès Buzyn assure que le ministère est néanmoins sur les rails quand elle s'en va. "Je quitte le ministère en ayant le sentiment d'avoir fait la bonne préparation [...]. En fonction, je n'ai à aucun moment sous-estimé le risque et j'ai préparé notre système de santé", déclare-t-elle aux députés. Dans le Monde, elle confirme avec des propos plus crus : "Ce qui est certain, c'est que j'avais un pressentiment, et tout le monde me disait que j'étais folle", "tout le monde s'en foutait", lâche-t-elle en cascade en évoquant les messages et textos qu'elle va continuer à envoyer pendant les municipales, "dans le vide". "J'ai fait le maximum de ce qu'il était possible de faire à cette période-là", conclut-elle.
© Tristan Reynaud/SIPA (publiée le 26/10/2022)