Des regrets et des larmes avant la "mascarade"

Agnès Buzyn s'apprête à voter aux municipales de mars 2020 à Paris. © ROMUALD MEIGNEUX/SIPA (publiée le 26/10/2022)
Dans son journal, il apparaît qu'Agnès Buzyn regrette immédiatement d'avoir quitté le navire juste avant la tempête du Covid. "Je n'aurais jamais dû partir. A la santé, j'étais à ma place. Là, on me poussait au mauvais endroit au mauvais moment", écrit-elle. Juste après sa lourde défaite à Paris, elle provoquera le tollé dans le journal Le Monde du 17 mars 2020, en déclarant : "Quand j'ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous". "Depuis le début je ne pensais qu'à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c'était une mascarade".
Dans son journal, il apparaît qu'Agnès Buzyn regrette immédiatement d'avoir quitté le navire juste avant la tempête du Covid. "Je n'aurais jamais dû partir. A la santé, j'étais à ma place. Là, on me poussait au mauvais endroit au mauvais moment", écrit-elle. Juste après sa lourde défaite à Paris, elle provoquera le tollé dans le journal Le Monde du 17 mars 2020, en déclarant : "Quand j'ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous". "Depuis le début je ne pensais qu'à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c'était une mascarade".
© ROMUALD MEIGNEUX/SIPA (publiée le 26/10/2022)