MDMA, la drogue tactile

De la MDMA, ou ecstasy new look. © WANG HUI-HUAAP/SIPA
"Fausse nouvelle drogue", la MDMA est bel et bien de l'ecstasy (la première est le principe actif de la deuxième). Sous ses dehors attrayants, cette molécule de la famille des amphétamines est un stupéfiant interdit en France. En 2009, elle a subi une pénurie en Europe à la suite de la saisie d'un produit chimique la composant. Depuis 2010, elle revient sous une forme déguisée, mais de plus en plus dosée. Souvent chez des jeunes fêtards qui ne font pas forcément le lien avec l'ecstasy et la prennent pour un nouveau produit. Elle a un effet fortement "empathogène" favorisant un mode de communication tactile… mais aussi des palpitations et bouffées de chaleur, de la paranoïa et/ou dépression et pour les symptômes les plus surprenants, rétention urinaire ou tendance à loucher ! Les risques ? Hyperthermie (température du corps qui grimpe) et déshydratation (vecteur d'insuffisance rénale), hépatite aigüe (foie infecté) ou tout bonnement l'arrêt cardiaque.
"Fausse nouvelle drogue", la MDMA est bel et bien de l'ecstasy (la première est le principe actif de la deuxième). Sous ses dehors attrayants, cette molécule de la famille des amphétamines est un stupéfiant interdit en France. En 2009, elle a subi une pénurie en Europe à la suite de la saisie d'un produit chimique la composant. Depuis 2010, elle revient sous une forme déguisée, mais de plus en plus dosée. Souvent chez des jeunes fêtards qui ne font pas forcément le lien avec l'ecstasy et la prennent pour un nouveau produit. Elle a un effet fortement "empathogène" favorisant un mode de communication tactile… mais aussi des palpitations et bouffées de chaleur, de la paranoïa et/ou dépression et pour les symptômes les plus surprenants, rétention urinaire ou tendance à loucher ! Les risques ? Hyperthermie (température du corps qui grimpe) et déshydratation (vecteur d'insuffisance rénale), hépatite aigüe (foie infecté) ou tout bonnement l'arrêt cardiaque.
© WANG HUI-HUAAP/SIPA