Des ateliers de sophrologie

Image d'illustration. © SIMON ISABELLE / SIPA
Par le passé, le PLAT (Plan de lutte contre la radicalisation en prison) a également déjà servi, selon l'Ufap Unsa-Justice, à la création d'atelier de sophrologie. De son côté, Marie-Line Hanicot, la directrice interrégionale des Services Pénitentiaires de la région Rhône-Alpes-Auvergne juge que des activités de groupe "socialisantes" sont nécessaires en prison pour favoriser "le vivre ensemble", y compris chez les détenus radicalisés : "L'oisiveté est mère de tous les vices. Si les détenus ne tournent qu'autour de leurs cellules et de leurs cours de promenade, il y aura forcément des tensions. Il est donc important de leur fournir des activités et de leur permettre de se changer les idées."
Par le passé, le PLAT (Plan de lutte contre la radicalisation en prison) a également déjà servi, selon l'Ufap Unsa-Justice, à la création d'atelier de sophrologie. De son côté, Marie-Line Hanicot, la directrice interrégionale des Services Pénitentiaires de la région Rhône-Alpes-Auvergne juge que des activités de groupe "socialisantes" sont nécessaires en prison pour favoriser "le vivre ensemble", y compris chez les détenus radicalisés : "L'oisiveté est mère de tous les vices. Si les détenus ne tournent qu'autour de leurs cellules et de leurs cours de promenade, il y aura forcément des tensions. Il est donc important de leur fournir des activités et de leur permettre de se changer les idées."
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