Du tennis de table

Image d'illustration. © massimo gherardi / 123RF
D'après le syndicat l'Ufap Unsa-Justice, 1er syndicat du ministère de la Justice et de l'administration pénitentiaire, le PLAT (Plan de lutte contre la radicalisation en prison) existait déjà avant les moyens supplémentaires alloués aux prisons sous ce qualificatif en 2015 : "Sur 84 000 euros, 70 000 euros ont été dépensés pour distraire les détenus. Cette somme a servi à l'achat de tables de ping-pong [ou] d'environ 350 CD, allant de Bach […] à Shakira. Et quand on demande pourquoi le budget destiné à la lutte antiterroriste est utilisé de cette façon, on reçoit pour réponse : parce que l'on ne sait pas quoi en faire", s'est insurgé le syndicat auprès de France 3 Régions en décembre dernier.
D'après le syndicat l'Ufap Unsa-Justice, 1er syndicat du ministère de la Justice et de l'administration pénitentiaire, le PLAT (Plan de lutte contre la radicalisation en prison) existait déjà avant les moyens supplémentaires alloués aux prisons sous ce qualificatif en 2015 : "Sur 84 000 euros, 70 000 euros ont été dépensés pour distraire les détenus. Cette somme a servi à l'achat de tables de ping-pong [ou] d'environ 350 CD, allant de Bach […] à Shakira. Et quand on demande pourquoi le budget destiné à la lutte antiterroriste est utilisé de cette façon, on reçoit pour réponse : parce que l'on ne sait pas quoi en faire", s'est insurgé le syndicat auprès de France 3 Régions en décembre dernier.
© massimo gherardi / 123RF