Une cryogénisation à l'azote

Des réservoirs d'azote au Cryonics Institute, dans le Michigan. © MORVAN / SIPA
Philosophe et futuriste, Max More est aussi le président d'Alcor, plus grand organisme de cryogénisation aux 140 "clients", se disant à but non-lucratif et situé en Arizona. On y propose de conserver corps et cerveau dans de l'azote liquide, afin de les ramener plus tard à la vie. Cotisations annuelles, dons et assurances vie permettent de financer ce qui se veut une ressuscitation médicale anticipée. Les coûts de cette pratique encore marginale mais néanmoins proposée par plusieurs organismes en Amérique, se révèlent élevés : 80 000 dollars (plus de 70 000 euros) par exemple pour la conservation d'un cerveau.
Philosophe et futuriste, Max More est aussi le président d'Alcor, plus grand organisme de cryogénisation aux 140 "clients", se disant à but non-lucratif et situé en Arizona. On y propose de conserver corps et cerveau dans de l'azote liquide, afin de les ramener plus tard à la vie. Cotisations annuelles, dons et assurances vie permettent de financer ce qui se veut une ressuscitation médicale anticipée. Les coûts de cette pratique encore marginale mais néanmoins proposée par plusieurs organismes en Amérique, se révèlent élevés : 80 000 dollars (plus de 70 000 euros) par exemple pour la conservation d'un cerveau.
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