Un suicide "temporaire"

Ken Hayworth veut se suicider pour une conservation de son cerveau “jeune” © Victor Watts / Rex Feat / REX SIPA
"La condition humaine m'énerve. Nous avons une durée de vie très courte. Les gens qui pensent que 'mourir c'est simplement la condition humaine. Nous devons l'accepter' sont peut-être forts. Mais je ne suis pas comme eux." Kenneth Hayworth, ingénieur dans le domaine des neurosciences, traduit bien ici le sentiment des transhumanistes. Fortuné et diplômé de Harvard, il a créé la Brain Preservation Foundation (pour "préservation du cerveau"). Et en 2012, le directeur de labo à Harvard aux envies d'immortalité a annoncé qu'il souhaitait se suicider via injection létale pour ensuite ressusciter son esprit dans une enveloppe cybernétique.
"La condition humaine m'énerve. Nous avons une durée de vie très courte. Les gens qui pensent que 'mourir c'est simplement la condition humaine. Nous devons l'accepter' sont peut-être forts. Mais je ne suis pas comme eux." Kenneth Hayworth, ingénieur dans le domaine des neurosciences, traduit bien ici le sentiment des transhumanistes. Fortuné et diplômé de Harvard, il a créé la Brain Preservation Foundation (pour "préservation du cerveau"). Et en 2012, le directeur de labo à Harvard aux envies d'immortalité a annoncé qu'il souhaitait se suicider via injection létale pour ensuite ressusciter son esprit dans une enveloppe cybernétique.
© Victor Watts / Rex Feat / REX SIPA