Le refus de libération conditionnelle

Centre pénitentiaire de Réau où a été détenue Jacqueline Sauvage pendant plus de trois ans, en Seine-et-Marne. © SEVGI / SIPA
Le 31 janvier 2016, Jacqueline Sauvage apprend qu'une grâce partielle lui est accordée par le président de la République d'alors, François Hollande. Cette mesure lui permet de présenter instantanément une demande de libération conditionnelle, avec le soutien de ses filles et du monde associatif. Le 12 août puis le 24 novembre 2016, elle lui est refusée par le tribunal d'application des peines de Melun puis par la Cour d'appel de Paris. Motifs ? Une surmédiatisation de l'affaire donnant à Jacqueline Sauvage un rôle "exclusivement victimaire" et le manque d'"un réel et authentique sentiment de culpabilité".
Le 31 janvier 2016, Jacqueline Sauvage apprend qu'une grâce partielle lui est accordée par le président de la République d'alors, François Hollande. Cette mesure lui permet de présenter instantanément une demande de libération conditionnelle, avec le soutien de ses filles et du monde associatif. Le 12 août puis le 24 novembre 2016, elle lui est refusée par le tribunal d'application des peines de Melun puis par la Cour d'appel de Paris. Motifs ? Une surmédiatisation de l'affaire donnant à Jacqueline Sauvage un rôle "exclusivement victimaire" et le manque d'"un réel et authentique sentiment de culpabilité".
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