"Il avait des yeux de fou"

Image d'illustration. © SOMPETCH / stock.adobe.com
Toujours dans Vanity Fair, "Christelle" confie que comme prévu, Tariq Ramadan se rend à Lyon en octobre 2009 et la rencontre "en vrai". Il la convie, dit-elle, dans son hôtel lyonnais, et c'est là que l'enfer commence selon la jeune femme âgée de 35 ans à l'époque, qui décrit ainsi la scène précédant les actes présumés : "J'étais glacée d'effroi. Il était droit comme un 'i'. Il avait des yeux de fou, la mâchoire serrée qu'il faisait grincer de gauche à droite. Il avait l'air habité comme dans un film d'horreur. Terrifiant, terrifiant, terrifiant". Et d'évoquer des violences physiques - coups de pied, gifles au visage, aux seins, coups de poing sur les bras et le ventre - et sexuelles en tout genre qui se multiplient. "Et dire que j'ai cru en sa sincérité. Ma naïveté paraît ridicule, je sais. Je me suis fait avoir comme une débutante, mais c'était retors et ficelé comme un scénario bien rodé", regrette-t-elle.
Toujours dans Vanity Fair, "Christelle" confie que comme prévu, Tariq Ramadan se rend à Lyon en octobre 2009 et la rencontre "en vrai". Il la convie, dit-elle, dans son hôtel lyonnais, et c'est là que l'enfer commence selon la jeune femme âgée de 35 ans à l'époque, qui décrit ainsi la scène précédant les actes présumés : "J'étais glacée d'effroi. Il était droit comme un 'i'. Il avait des yeux de fou, la mâchoire serrée qu'il faisait grincer de gauche à droite. Il avait l'air habité comme dans un film d'horreur. Terrifiant, terrifiant, terrifiant". Et d'évoquer des violences physiques - coups de pied, gifles au visage, aux seins, coups de poing sur les bras et le ventre - et sexuelles en tout genre qui se multiplient. "Et dire que j'ai cru en sa sincérité. Ma naïveté paraît ridicule, je sais. Je me suis fait avoir comme une débutante, mais c'était retors et ficelé comme un scénario bien rodé", regrette-t-elle.
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