Comme il avait tenté de le faire pour Henda Ayari (qui s'en était expliquée auprès des enquêteurs), Tariq Ramadan a notamment basé sa défense sur des messages envoyés par Christelle. "Depuis février [2019], les juges savent que les SMS qu'elles disaient avoir envoyé avant la rencontre, ont été envoyés après la rencontre [et le viol présumé, NDLR]", a-t-il déclaré. Pour lui, ces messages laissent deviner que la plaignante a apprécié ce qu'il s'est passé avec lui. L'islamologue évoque également des liens entre Christelle et une femme ayant porté plainte contre lui en Suisse (voir plus bas). En parallèle, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris rappelle, elle, le contenu des SMS envoyés par Tariq Ramadan le lendemain des faits présumés : "J'ai senti ta gêne. Désolé pour ma violence. J'ai aimé. Tu en veux encore ?".
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