Et après ? (2/2)

© DURAND FLORENCE / SIPA
Autre point, le plan prévoit, au lieu d'un étiquetage des produits pour informer les consommateurs, solution préconisée par plusieurs ONG, un travail de concertation avec les industriels pour "guider" leur action vers la substitution des substances controversées, notamment en identifiant des alternatives, rapporte l'AFP. "Les industriels ne sont donc pas obligés de les remplacer par des produits moins toxiques et il n'y a rien de coercitif", déplorait en début d'année Fleur Gorre, chargée de campagne sur les produits chimiques au sein de l'association Générations Futures, auprès du Parisien.
Autre point, le plan prévoit, au lieu d'un étiquetage des produits pour informer les consommateurs, solution préconisée par plusieurs ONG, un travail de concertation avec les industriels pour "guider" leur action vers la substitution des substances controversées, notamment en identifiant des alternatives, rapporte l'AFP. "Les industriels ne sont donc pas obligés de les remplacer par des produits moins toxiques et il n'y a rien de coercitif", déplorait en début d'année Fleur Gorre, chargée de campagne sur les produits chimiques au sein de l'association Générations Futures, auprès du Parisien.
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