En 2100... Des canicules qui durent 2 ou 3 mois

Canicule à Naples (Italie) en juillet 2019. © Ciro Fusco / AP / SIPA
Toujours selon ce scénario du pire des 6,5 à 7°C de température moyenne globale en plus en 2100, une multiplication des vagues de chaleur toucherait alors la France. Dès les années 2050, la canicule de 2003 et ses 15 000 morts deviendrait ainsi la norme dans l'Hexagone"[…] Toutes les caractéristiques des canicules augmentent : température du jour le plus chaud, nombre total de jours de canicule dans l'été, et durée des épisodes de canicule", précise l'étude scientifique. D'après le chercheur Météo-France Aurélien Ribes, interrogé par Le Parisien, "en fin de siècle, sur la base de fortes émissions, il y aura des canicules qui pourront durer deux voire trois mois, soit l'intégralité de l'été qui sera en réalité une canicule. Aujourd'hui on considère que l'on entre en épisode de canicule lorsque la température est 5°C au-dessus de la température normale. Il n'est pas à exclure qu'on atteigne les 50°C". 
Toujours selon ce scénario du pire des 6,5 à 7°C de température moyenne globale en plus en 2100, une multiplication des vagues de chaleur toucherait alors la France. Dès les années 2050, la canicule de 2003 et ses 15 000 morts deviendrait ainsi la norme dans l'Hexagone"[…] Toutes les caractéristiques des canicules augmentent : température du jour le plus chaud, nombre total de jours de canicule dans l'été, et durée des épisodes de canicule", précise l'étude scientifique. D'après le chercheur Météo-France Aurélien Ribes, interrogé par Le Parisien, "en fin de siècle, sur la base de fortes émissions, il y aura des canicules qui pourront durer deux voire trois mois, soit l'intégralité de l'été qui sera en réalité une canicule. Aujourd'hui on considère que l'on entre en épisode de canicule lorsque la température est 5°C au-dessus de la température normale. Il n'est pas à exclure qu'on atteigne les 50°C". 
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