Une aggravation des chaleurs

Des passants se rafraîchissent dans la fontaine près de la place du Trocadéro à Paris, le 26 juin 2019. © CHINE NOUVELLE / SIPA
"[Selon] Samuel Somot, chercheur à Météo France / CNRM [Centre national de recherches météorologiques], qui a étudié l'évolution de la température en France, 'La structure spatiale du climat d'aujourd'hui va rester la même, c'est-à-dire que les massifs et le nord-ouest de la France resteront plus frais que l'arc méditerranéen par exemple. En revanche, c'est l'intensité des températures qui pourrait s'aggraver. On s'attend à deux phénomènes concernant l'évolution future de la distribution statistique des températures quotidiennes : d'une part un décalage de la moyenne des températures vers des valeurs plus chaudes et d'autre part un aplatissement de la distribution, c'est-à-dire que les extrêmes vont se réchauffer plus vite que la moyenne. Ce double phénomène devrait entraîner une augmentation plus importante des extrêmes que des températures moyennes (...)' ".
"[Selon] Samuel Somot, chercheur à Météo France / CNRM [Centre national de recherches météorologiques], qui a étudié l'évolution de la température en France, 'La structure spatiale du climat d'aujourd'hui va rester la même, c'est-à-dire que les massifs et le nord-ouest de la France resteront plus frais que l'arc méditerranéen par exemple. En revanche, c'est l'intensité des températures qui pourrait s'aggraver. On s'attend à deux phénomènes concernant l'évolution future de la distribution statistique des températures quotidiennes : d'une part un décalage de la moyenne des températures vers des valeurs plus chaudes et d'autre part un aplatissement de la distribution, c'est-à-dire que les extrêmes vont se réchauffer plus vite que la moyenne. Ce double phénomène devrait entraîner une augmentation plus importante des extrêmes que des températures moyennes (...)' ".
© CHINE NOUVELLE / SIPA