"On devait s'occuper de 33 personnes en même temps"

Le 5 novembre 2020 à Château Chenois, résidence Orpéa en Belgique. © Daina Le Lardic / ISOPIX/SIPA

Dans l'une des chambres, on "regrette qu'il n'y ait pas d'infirmière de nuit. Une autre, encore, souligne le temps de réponse anormalement long aux appels des malades", relate encore le journaliste Victor Castanet dans "Les Fossoyeurs".  Sur franceinfo le 26 janvier, Laurent Garcia, un cadre infirmier ayant travaillé huit mois au sein de la maison de retraite Orpéa de Neuilly-sur-Seine, décrit, lui aussi, un quotidien épouvantable en terme de personnel soignant disponible : "On devait [par moments] s'occuper de 33 personnes en même temps, donc on s'en occupe mal. C'était intenable".

Dans l'une des chambres, on "regrette qu'il n'y ait pas d'infirmière de nuit. Une autre, encore, souligne le temps de réponse anormalement long aux appels des malades", relate encore le journaliste Victor Castanet dans "Les Fossoyeurs".  Sur franceinfo le 26 janvier, Laurent Garcia, un cadre infirmier ayant travaillé huit mois au sein de la maison de retraite Orpéa de Neuilly-sur-Seine, décrit, lui aussi, un quotidien épouvantable en terme de personnel soignant disponible : "On devait [par moments] s'occuper de 33 personnes en même temps, donc on s'en occupe mal. C'était intenable".
© Daina Le Lardic / ISOPIX/SIPA