De la "dissimulation" d'informations

Matelas anti-escarres. © Tomasz - stock.adobe.com

"Alors que l'on sait que Mme Dorin a déjà souffert d'une légère escarre à la malléole et que c'est donc une patiente à risque, aucun matelas spécifique, dit 'anti-escarre', n'a été prévu pour son arrivée.", souligne Victor Castanet dans "Les Fossoyeurs". Par la suite, pendant plus de dix jours, "aucun membre de l'équipe" n'informera la famille sur l'existence d'une escarre qui dégénère et aurait nécessité "un plan de soins adapté" et rapide. La fille unique de Mme Dorin dénonce de la "dissimulation" d'informations. Le 27 décembre, deux mois après l'admission de sa mère à l'Ehpad, elle découvrira "un trou béant, au niveau du sacrum, plus gros que mon poing. C'était terrible." L'avis d'un médecin n'aura été requis par l'Ehpad qu' "un mois après l'apparition de l'escarre". Françoise Dorin décède le 12 janvier, "après des semaines de souffrance indicibles, à l'âge de 89 ans. Sans un bruit (...)".

"Alors que l'on sait que Mme Dorin a déjà souffert d'une légère escarre à la malléole et que c'est donc une patiente à risque, aucun matelas spécifique, dit 'anti-escarre', n'a été prévu pour son arrivée.", souligne Victor Castanet dans "Les Fossoyeurs". Par la suite, pendant plus de dix jours, "aucun membre de l'équipe" n'informera la famille sur l'existence d'une escarre qui dégénère et aurait nécessité "un plan de soins adapté" et rapide. La fille unique de Mme Dorin dénonce de la "dissimulation" d'informations. Le 27 décembre, deux mois après l'admission de sa mère à l'Ehpad, elle découvrira "un trou béant, au niveau du sacrum, plus gros que mon poing. C'était terrible." L'avis d'un médecin n'aura été requis par l'Ehpad qu' "un mois après l'apparition de l'escarre". Françoise Dorin décède le 12 janvier, "après des semaines de souffrance indicibles, à l'âge de 89 ans. Sans un bruit (...)".
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