"Ho oui ! C'est joli ! C'est cosy même.", poursuit Thomas Mitsinkidès, le petit-fils de la défunte. "On vous vantera volontiers la balnéo et le confort des chambres. On vous fera des courbettes et des grands sourires. On vous fera croire que tout est sous contrôle… La vérité c'est que cet établissement à plus de 7 000 euros le mois n'est pas un organisme de santé, mais une entreprise à but lucratif (…)." A son entrée chez Orpéa, Mme Dorin "souffrait de troubles cognitifs importants" mais "se portait bien physiquement", écrit quant à lui l'auteur des "Fossoyeurs". Deux mois et demi après son arrivée, elle décèdera "des suites d'un choc septique causé par la dégénérescence d'une escarre. Entre ces deux dates, les dysfonctionnements qu'on me rapporte furent nombreux.", accuse-t-il.
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