Doit-on s'inquiéter de la dangerosité de la variole du singe ? 

Image d'illustration. © Aron M - Austria - stock.adobe.com

Santé publique France note que la variole du singe peut être "plus grave chez les enfants et chez les personnes immunodéprimées [dont les femmes enceintes]. Elle peut se compliquer de surinfection des lésions cutanées ou d'atteintes respiratoires, digestives ou ophtalmologiques ou neurologiques".

Deux ans après le début de l'épidémie de coronavirus, doit-on s'inquiéter de la propagation d'un nouveau virus ? "Pour le moment, nous ne sommes pas préoccupés par une pandémie mondiale", a déclaré le 30 mai la principale experte de la variole du singe à l'OMS, Rosamund Lewis. Et d'ajouter : "Il est encore possible d'arrêter cette épidémie avant qu'elle ne s'étende".

Santé publique France note que la variole du singe peut être "plus grave chez les enfants et chez les personnes immunodéprimées [dont les femmes enceintes]. Elle peut se compliquer de surinfection des lésions cutanées ou d'atteintes respiratoires, digestives ou ophtalmologiques ou neurologiques". Deux ans après le début de l'épidémie de coronavirus, doit-on s'inquiéter de la propagation d'un nouveau virus ? "Pour le moment, nous ne sommes pas préoccupés par une pandémie mondiale", a déclaré le 30 mai la principale experte de la variole du singe à l'OMS, Rosamund Lewis. Et d'ajouter : "Il est encore possible d'arrêter cette épidémie avant qu'elle ne s'étende".
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