Dans quels pays la variole du singe se propage-t-elle actuellement ?

© Capture Our World in Data

La carte proposée par Ourdatainworld permet de visualiser la propagation de la variole du singe dans les différents continents du monde. Le nombre de contaminations demeure pour le moment assez circonscrit. On note en Europe un phénomène de transmission plus important au Royaume-Uni et en Espagne, à moins que les services de leurs autorités sanitaires aient développé des moyens plus efficients pour identifier les nouveaux cas de variole du singe. Dans une moindre mesure, l'Allemagne et le Canada font également partie pour l'heure des pays présentant les plus forts cumuls de cas confirmés de variole du singe sur leurs sols.

L'Angleterre a été la première à tirer la sonnette d'alarme. Un premier malade de la variole du singe y a été recensé le 7 mai : il s'agissait d'une personne qui rentrait d'un voyage au Nigéria. L'agence britannique de sécurité sanitaire assure qu'à l'exception du premier cas détecté, la transmission entre les autres cas se serait faite au sein du pays. Depuis, le nombre de cas n'a cessé d'augmenter. L'Espagne, le Portugal, le Canada et les États-Unis ont, tour à tour, signalé avoir repéré la présence de la variole du singe, ou ce qui semble l'être, sur leur territoire. La Suède et l'Italie ont suivi. Près de 20 pays sont concernés (voir le détail du nombre de cas par pays en page suivante). 

La carte proposée par Ourdatainworld permet de visualiser la propagation de la variole du singe dans les différents continents du monde. Le nombre de contaminations demeure pour le moment assez circonscrit. On note en Europe un phénomène de transmission plus important au Royaume-Uni et en Espagne, à moins que les services de leurs autorités sanitaires aient développé des moyens plus efficients pour identifier les nouveaux cas de variole du singe. Dans une moindre mesure, l'Allemagne et le Canada font également partie pour l'heure des pays présentant les plus forts cumuls de cas confirmés de variole du singe sur leurs sols. L'Angleterre a été la première à tirer la sonnette d'alarme. Un premier malade de la variole du singe y a été recensé le 7 mai : il s'agissait d'une personne qui rentrait d'un voyage au Nigéria. L'agence britannique de sécurité sanitaire assure qu'à l'exception du premier cas détecté, la transmission entre les autres cas se serait faite au sein du pays. Depuis, le nombre de cas n'a cessé d'augmenter. L'Espagne, le Portugal, le Canada et les États-Unis ont, tour à tour, signalé avoir repéré la présence de la variole du singe, ou ce qui semble l'être, sur leur territoire. La Suède et l'Italie ont suivi. Près de 20 pays sont concernés (voir le détail du nombre de cas par pays en page suivante). 
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